« Il y a l’imam Google. Un certain nombre de jeunes aujourd’hui, avant même d’aller dans les mosquées, c’est sur Internet qu’ils trouvent le moyen de se radicaliser », a estimé le candidat aux régionales en Nord Pas-de-Calais Picardie, reprenant une thèse déjà soutenue par le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve et le premier ministre, Manuel Valls, et qu’aucune étude n’a pour l’instant étayée.
« Il est temps que ces multinationales, Twitter, Facebook, parce qu’il n’y a pas que Google, présentes sur notre territoire, archi-milliardaires, qui ne payent pas d’impôts, qu’ils se sentent aussi mobilisés », a continué le député Les Républicains, s’étonnant que ce soit un groupe d’internautes, Anonymous, qui ait fait la chasse aux comptes de djihadistes sur Twitter.
Une nouvelle mesure de blocage exprès a été adoptée par le parlement jeudi 19 novembre.
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